Aki TAKEISHI
° Âge : 17
° Sexe : m
° Orientation sexuelle : bisexuelle à très forte tendance homo
° Origines : bah euh Japon
° Espèce : Vampire
° Statut :
Etudiant/Professeur/Surveillant
~ Description physique :
Je n'aime pas me vanter, alors je dirais juste que je suis une personne qui a un physique sympathique.
Dans l'ensemble, je suis un garçon qui est assez grand et qui a une taille plutôt fine, je pense que ce qui fais ma grandeur, ce sont mes jambes, de belles grandes jambes, c'est plutôt pratique. Je suis assez musclé, ma peau est pâle. J'ai des cheveux blancs comme la neige, même si la neige n'est pas vraiment un mot que j'associe avec la couleur blanche. Ils sont plutôt longs mais ça ne se voit pas tant que ça. Ils sont plutôt ébouriffés.
J'ai des yeux bleus clairs, plus clair que le ciel, et ces yeux, brillent dans la nuit, comme ceux des loups, et leur couleur est telle des flocons de neige.
Juste en dessous de mon œil droit, j'ai une petite marque qui est exactement de la même couleur que mes yeux, je suis né avec, sauf qu'au départ, la marque était marron, c'était moche, alors, il y a peu de temps, je suis aller me faire tatouer la marque en bleu, c'est déjà un peu plus beau je trouve.
Dans ma façon de m'habiller, je préfère rester discret. Je m'habille très souvent avec du noir, du blanc et du bleu. La façon de m'habiller est totalement normale : un jean un Tee-shirt et ça suffit, je suis pas tellement à cheval sur la mode ou l'originalité.
Le regard que j'ai ? Eh bien étant donné que je ne suis pas une personne gaie et enjouée, je tire très souvent la gueule, il m'arrive assez rarement de sourire mais quand je souris, ça n'est pas forcément bon signe. Pourtant, à première vue, j'ai l'air d'une personne totalement inoffensive, même si je ne le suis pas tant que ça.
~ Description morale :
Si je devais décrire mon caractère, je dirais qu'il est plutôt étrange. Je peux être assez sympa un jour, et très violent un autre jour. Tout dépends de mon humeur, mais c'est à chaque fois poussé à l'extrême, par exemple si je suis en colère je suis vraiment mais vraiment en colère.
Mais généralement, j'ai un caractère plutôt froid et renfermé. Je parle pas beaucoup et quand je parle, c'est pas souvent pour dire des gentillesses mal grès le fait de que suis quelqu'un de très hypocrite, oui, je joue à faire une personne que je ne suis pas. En fait j'ai vraiment un drôle d'esprit, je ne dis pas directement aux personnes ce que je pense d'eux pour qu'ils se fassent une image totalement positive de moi, alors qu'en réalité, je suis vraiment pas sympa, et je le montre bien après. Oui je suis pas sympa mais c'est qu'une autre image que je veux donner aux autres car au final, je suis pas quelqu'un de si méchant, même si je veux le faire croire. Il suffit de bien me connaitre -même si ça risque d'être dur- pour que l'on s'en rende compte. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais c'est comme ça et pas autrement, et depuis toujours.
Aussi, je suis un vampire, comme la plupart des vampires j'aime le sang c'est logique. Ce qu'il y a, c'est ma façon de le prendre. D'abord, je ne vampirise jamais mes victimes, je ne les tuent pas non plus par simple respect et parce que je n'y arrive pas. Bref, pour mes "repas", j'aime entraîner mes victimes dans des petits pièges, j'attends pas trois cent ans pour boire le sang et une fois que c'est fait, bah je leur dit que j'ai juste bu du sang rien de plus.
Si je dois parler de ce que j'aime, eh bien à peu près tout, surtout la guimauve, je sais pas pourquoi, depuis tout petit, on va dire que c'est mon petit péché mignon, les seules choses que je déteste le plus c'est les pots d'colles et les trucs cucul la praline .
» Histoire : ( Vous devez avoir un minimum de 10 lignes)
Le livre de chaque être vivant s'écrit à la naissance, et la mien s'est ouvert le vingt-six décembre, le lendemain de noël. Il neigeait ce jour là... Quand je suis sortit du ventre de ma mère, j'avais la peau blanche et mes yeux étaient bleus, enfin bleus, c'était normal, tous les nourrissons ont les yeux bleus à la naissance, mais ce bleu n'était pas comme les autres, c'était un bleu vraiment très clair, comme le ciel, c'était quelque chose de peu commun ici, au Japon. Mais ça ne faisait pas de moi un mutant au contraire, tout le monde me disait et me dit encore que j'ai des beaux yeux. Enfin bref...
J'ai vécu une enfance normale, quoi qu'assez luxueuse vu la situation qu'avaient mes parents, ma mère était une célèbre actrice et mon père un grand journaliste, c'était bien de vivre dans une grande maison avec pleins de personnes autour de soi, mais à part à la télé, je ne voyais presque pas mes parents, je n'avais pas reçu leur amour, ou du moins que très peu... c'est malheureux hein ? Je m'ennuyais beaucoup chez moi, je n'avais qu'une hâte, c'était d'aller à l'école...
Et j'y entra à mes cinq ans, je devais être le plus jeune de ma classe. C'était bien la primaire, enfin pas les cours, je m'en suis toujours complètement foutu, mais ce qui était bien, c'était d'embêter les gens, ils disaient rien, alors je continuait, au fond de moi, ça me plaisais pas, et quand je me moquait des gens ça me plaisais encore moins et pourtant, je ne pouvait pas m'empêcher de le faire. A l'école, j'étais le roi et on avait pas intérêt à m'embêter.
J'entra enfin au collège, je pense que ça a été une excellente période, je m'amusais encore plus à enfoncer les "paumés" du collège, eux, ils en pleuraient presque. Et un jour, il y eu deux nouveaux élèves dans ma classe, même si ils avaient l'air totalement humain, ils étaient loin de l'être, je l'avais sentit, ils étaient différents, mais ils avaient l'air fort sympathiques. Très vite, nous sommes devenus amis -enfin c'était surtout à force d'être toujours collés- ces garçons s'appelaient Kyô et Ryô. On faisait souvent des bêtises ensemble. Et un jour, j'avais surpris Kyô, la tête collée sur la nuque d'une fille du collège, il y avait du sang autour... Je le savais, ces gars là n'étaient pas normaux, ça ne me dérangeais pas plus que ça, par contre, quand je leur avaient dit que j'avais vu Kyô en train de mordre une fille, eux, ça les a beaucoup dérangés, d'ailleurs, ils étaient prêts à sauter sur mon cou et me pomper tout mon sang pour me tuer. Mais je leur avaient promis de ne rien dire, ils m'avaient fait confiance et ils n'auraient pas du, non mais franchement, qui aurait pu croire que j'allais garder un secret aussi grand ? C'était impossible, je m'étais bien forcé à ne rien dire, mais ça m'avais échapper et du jour au lendemain, presque tout le collège était au courant, du coup je devais pas vraiment m'attendre à ce qu'ils m'épargnent, et pourtant... ce que j'ai entendu avant d'en voir un sur mon cou c'était : " On va plutôt te faire un cadeau". Puis, il paraît que j'étais tombé dans les pommes et qu'ils m'avaient ramenés chez moi.
A mon réveil, je me sentais comme différent. Je n'étais pas mort, j'avais juste mal au crâne et ... les ... canines pointues ?! Nan sérieusement... je n'arrivais pas à le croire... D'un côté c'était bien, j'aurais pu mourir, mais de l'autre... enfin ch'avais pas moi, pour moi, les vampires avaient toujours étaient des bêtes sanguinaires... enfin, comment j'aurais pu faire ?
Le lendemain au collège, les gens aux collèges semblaient avoir complétement oubliés ce que je leur avait dit. Je demanda à un des vampires de m'expliquer le pourquoi du comment. Il m'avait clairement expliqué comment lui il vivait, que les vampires avaient une réputation de grands mangeurs de sang, mais qu'en réalité, il n'était pas trop dur de pouvoir se contrôler, et puis qu'on pouvait juste ce nourrir du sang d'une personne sans la tuer. Oui bon c'était rassurant dans un sens, mais ce que je ne comprenais pas, c'était pourquoi il m'avait pas tué... Et donc bien sûr, je lui posa la question... et là, rien n'était sortit de sa bouche, il me regardait, rouge, mais moi je ne comprenais pas, alors, je lui avais répondu par un regard qui ne comprenait pas. Et là, j'entendis de sa douce voix " ben c'est qu'en fait... je... je t'aime"
Il m'aimait... moi je savais pas comment réagir, pour moi, l'amour ça avait toujours était les filles avec les garçons, alors un garçon qui en aime un autre, bah ça m'échappais... Mais bon, c'est vrai qu'avec un peu de recul, je comprenais quand même. Et après avoir passé environ cinq minutes à me remettre en question, bah fallait dire que cette déclaration m'avais fait quelque peu rougir... Et puis, avec le temps, eh bien je me suis moi même mis à l'aimer, et je lui était vraiment très reconnaissant de m'avoir laissé en vie... Bon ça avait pris du temps à se faire, mais ça c'était fait. Je l'aimais beaucoup après quelques mois... Mais bon bien sûr, un amour à cet âge là, ça ne tenait jamais, il y avait toujours un problème quelque part... Et là il a fallut qu'il y en est un. Les parents de Kyô et de Ryô voulaient voir d'autres horizons, mais quels cons ceux-là aussi... A croire qu'ils ne devaient pas être au courant de la relation que l'on avait... Pff, j'étais déprimé, près à tout défoncer, mais lui il m'avait dit avant de partir : " Un jour on se reverra, j'ai juste une faveur à te demander, attends moi ici" Il m'avait tendu un bout de papier " Pensionnat Misore" ... Je lui adressa un dernier regard puis je ne le vis plus. Je ne savais pas où était cet endroit, mais j'étais sûr que j'allais le trouver, et j'avais raison, après quatre ans de recherche -sans que mes parents s'inquiètent _ _' - je suis enfin devant...
* Code du règlement :
Validé
Jeu 30 Déc - 23:47
